Deux systèmes sont en présence: tous deux émanent de convictions sincères, tous deux ont pour but le bien général.
Category: Ethique
41. LETTRE A M. JOBARD
Parce que j’aurais été le premier à mettre des sabots, tous les hommes sur la surface de la terre, sont-ils tenus en droit d’aller pieds nus?
36. LE ROI LIBRE-ECHANGISTE
Nous voudrions que chaque citoyen, pour améliorer son sort, comptât un peu plus sur lui-même et un peu moins sur la caisse publique.
34. A M. LE REDACTEUR EN CHEF DU NATIONAL – I
Faut-il les tuer pour leur apprendre à vivre?
30. AUX NEGOCIANTS DU HAVRE – II
Il est donc plus simple et plus loyal de poser d’abord le principe de la liberté commerciale.
27. LA LOI DES CEREALES ET LE SALAIRE DES OUVRIERS
Les partisans du libre-échange prédisent-ils que, sous le règne de leurs principes, il n’y aura plus aucune fluctuation dans les salaires?
4. LIBERTE DU COMMERCE
Quoi! le public n’ouvrira-t-il pas enfin les yeux sur cette honteuse mystification dont il est dupe?
2. D’UN NOUVEAU COLLEGE A FONDER A BAYONNE
Les Romains vivaient de rapine et nous vivons d’industrie.
COBDEN ET LA LIGUE
Nous proclamons notre profond respect pour la propriété de cette classe qui est la plus ardente à s’opposer à nos réclamations.
COBDEN ET LA LIGUE
Nous sommes des hommes libres. Pourquoi n’aurions-nous pas un commerce libre?
COBDEN ET LA LIGUE
L’esprit de parti est le plus grand fléau des peuples constitutionnels.
XXIV. REPONSE A DIVERS
Ce qu’il y a de pire dans ces assertions, c’est que ceux qui se les permettent n’en croient pas un mot eux-mêmes.
XX. LE MONDE RENVERSE
Quoi! C’est ainsi qu’on traite la question des subsistances?
V. D’UN PLAN DE CAMPAGNE PROPOSE A L’ASSOCIATION POUR LE LIBRE-ECHANGE
Notre arme n’est pas l’habileté, mais la raison et la bonne-foi.
II. LIBRE-ECHANGE
Nous demandons que nous nos concitoyens, libres de travailler, soient libres d’échanger le fruit de leur travail.
SUR L’ELOGE DE M. CHARLES COMTE
On conçoit qu’un homme tel que l’a dépeint M. Mignet ait rejeté ces vains ornements qui, dans sa pensée, sont des pièges pour le lecteur quand ils ne le sont pas pour l’écrivain.
DE LA REPARTITION DE LA CONTRIBUTION FONCIERE
Quel est le signe le plus certain que les hommes se conservent et prospèrent? C’est leur nombre et leur population.
LETTRES A RICHARD COBDEN
Essayons de mériter la confiance, et non de la surprendre.
LETTRES A M. FELIX COUDROY
Quant à moi, je devais déplaire aux deux partis, par cela même que je m’occupais plus de les combattre dans leurs torts que de m’enrôler sous leur bannière.
LETTRES A M. FELIX COUDROY
Ne pouvant pas parler, j’ai pris le parti d’écrire.
LETTRES A M. FELIX COUDROY
Je connais trop le cœur humain pour en vouloir à personne.
LETTRES A M. FELIX COUDROY
Comment, comment lutter contre une école qui a la force en main et qui promet le bonheur parfait à tout le monde?
LETTRES A M. FELIX COUDROY
Il est bien difficile que nos préjugés nous laissent, je ne dis pas bien juger, mais bien voir les faits.
XVII. SERVICES PRIVES, SERVICES PUBLICS
Mais les riches ont-ils renoncé pour cela à la spoliation? Ils n’y ont pas seulement songé. L’argument des ricochets continue à leur servir de prétexte.
XVI. DE LA POPULATION
Mais l’homme est prévoyant, et c’est sa raison, sa volonté qui seules peuvent mettre un obstacle à cette progression fatale.
XV. DE L’EPARGNE
Que les moralistes ne soient plus arrêtés par cette considération…
XIV. DES SALAIRES
L’intention est un asile que je suis toujours disposé à respecter;
XI. PRODUCTEUR. – CONSOMMATEUR
C’est à celui qui recherche la satisfaction à savoir si elle est honnête, morale, raisonnable, bienfaisante. La responsabilité lui incombe.
GRATUITE DU CREDIT
Pour ma part, je préférerais mille fois être suspecté dans ma franchise, que de me voir dépouillé du plus bel apanage de l’homme, de ce qui fait sa force et son essence.