Ce qui me semble de la prudence la plus vulgaire, y passe pour de la témérité insensée.
Category: Choix public
LETTRES A M. HORACE SAY – 4
Que l’Etat garantisse à chacun sa sécurité et qu’il ne se mêle pas d’autre chose.
68. LES ELECTIONS
L’intérêt du ministère est d’augmenter sa puissance et sa richesse. Mais il ne peut augmenter sa puissance qu’aux dépens de ma liberté, et sa richesse qu’aux dépens de ma bourse.
66. RAPPORT PRESENTE AU CONSEIL GENERAL DES LANDES, SESSION DE 1849, SUR LA QUESTION DES COMMUNAUX
Il est dangereux de croire que ce droit s’efface devant la volonté du législateur.
54. SOUS LA REPUBLIQUE – XV – CUREE DES PLACES
Il faut voir la cause du mal, et il serait puéril d’exiger que le cœur humain fût fait autrement qu’il n’a plu à la nature de le faire.
22. DU CHEMIN DE FER DE BORDEAUX A BAYONNE
Il ne suffit pas de constater le fait, il faut encore le rattacher à sa cause.
4. LIBERTE DU COMMERCE
Quoi! le public n’ouvrira-t-il pas enfin les yeux sur cette honteuse mystification dont il est dupe?
COBDEN ET LA LIGUE
Je me suis souvent étonné que des hommes d’Etat aient osé assumer sur eux la responsabilité d’une telle politique.
COBDEN ET LA LIGUE
En ce qui concerne le manque d’emploi occasionné par les machines, il n’y a jamais eu de plus grande méprise depuis le commencement du monde.
VII. DE L’INFLUENCE DU REGIME PROTECTEUR SUR LA SITUATION DE L’AGRICULTURE EN FRANCE
La direction artificielle, imprimée au capital et au travail, vaut-elle mieux que leur direction naturelle?
LETTRES A M. FELIX COUDROY
Comment, comment lutter contre une école qui a la force en main et qui promet le bonheur parfait à tout le monde?
LETTRES A M. FELIX COUDROY
Il n’y a qu’une chose dont le public ne veut pas s’occuper, c’est des affaires publiques.
XVII. SERVICES PRIVES, SERVICES PUBLICS
Comment les individus peuvent-ils déléguer des droits qu’ils n’ont pas?
XI. PRODUCTEUR. – CONSOMMATEUR
C’est à celui qui recherche la satisfaction à savoir si elle est honnête, morale, raisonnable, bienfaisante. La responsabilité lui incombe.
LA LOI
La Loi s’est pervertie sous l’influence de deux causes bien différentes: l’égoïsme inintelligent et la fausse philanthropie.
L’ÉTAT
L’ÉTAT, c’est la grande fiction à travers laquelle TOUT LE MONDE s’efforce de vivre aux dépens de TOUT LE MONDE.
L’ÉTAT
L’homme répugne à la Peine, à la Souffrance. Et cependant, il est condamné par la nature à la Souffrance de la Privation, s’il ne prend pas la Peine du Travail.
II. LE LICENCIEMENT.
Mais voici où est la perte. Au village, un homme bêchait et labourait: c’était un travailleur; à Metz, il fait des tête droite et des tête gauche: c’est un soldat.
67. -MONITA SECRETA.
Le ministre effrayé aura recours à un emprunt, et nous y gagnerons un an, peut-être deux; le peuple payera les intérêts.
56. – LES HOMMES SPÉCIAUX.
En définitive, payons-nous un gouvernement pour qu’il nous aide à nous nuire les uns aux autres, ou, au contraire, pour qu’il nous en empêche?
XIII. – LA PROTECTION OU LES TROIS ÉCHEVINS.
C’est ainsi que le monopole, comme toute injustice, porte en lui même son propre châtiment.
VI. – AUX ARTISANS ET AUX OUVRIERS.
Pour convertir la laine en drap, ces messieurs ne veulent pas la concurrence, parce que c’est leur métier; mais, pour convertir le drap en habits, ils l’admettent fort bien, parce que c’est le vôtre.