LETTRES A RICHARD COBDEN

Et je suis étonné, quand je pense à cela,
Comment l’esprit humain peut baisser jusque-là.

Frédéric Bastiat
Œuvres Complètes, tome I, page 141
Lettre du 29 septembre 1846

Ces deux alexandrins sont mis en exergue dans cette lettre de Frédéric Bastiat et je n’ai aucune idée de qui ils sont: Bastiat lui-même qui se trouve une âme poétique ou un auteur connu de tous sauf de moi? Si quelqu’un connaît la réponse, je serai heureux de l’apprendre: n’hésitez pas à m’en faire part en commentaire. Il ne resterait alors plus qu’à les réattribuer à son auteur le cas échéant.

C’est après avoir fait part de sa stupéfaction concernant “les armateurs qui comptent sur la rareté des échanges pour multiplier les transports” qu’il fait apparaître ces vers. Je trouve que c’est un bel euphémisme pour signifier l’insondable profondeur de la bêtise humaine et c’est la raison pour laquelle je relève cette citation.

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