Tant qu’une étincelle brille encore, il ne faut pas désespérer.

Frédéric Bastiat
Œuvres Complètes, tome VII, pages 377 à 380
24 novembre 1844

Sept lettres à Horace Say, fils de Jean-Baptiste Say, sont publiées dans les tomes VII et I des Œuvres Complètes. Ne retrouvant pas de citation relevée dans celles publiées au tome I, je vais les recenser ici, dans l’ordre chronologique.

Cette première lettre fait suite à la première publication de Frédéric Bastiat dans le Journal des Economistes dont Horace Say était un des fondateurs. Ce dernier lui avait écrit pour l’en remercier et lui offrir de publier d’autres articles. Frédéric Bastiat lui annonce qu’il en est flatté et qu’il accepte sa demande. Il lui annonce aussi la publication à venir de Cobden et la Ligue. Il lui exprime également son grand respect pour son père ainsi que pour Charles Dunoyer tout en se lamentant du peu d’échos en France que reçoit ce qu’il appelle l’Ecole des Economistes. Cependant, il conclue par la citation d’aujourd’hui qui dénote son optimisme toujours présent.